Au cours des dix années qui ont précédé l’introduction de la LPP, le renchérissement avait oscillé entre 0.7 et 6.6% par an. La question de savoir s’il fallait automatiquement adapter les rentes de vieillesse au renchérissement ou non avait donc son importance. A l’époque, la variante sans adaptation automatique avait été retenue. De plus, pour financer le taux de conversion de 7.2%, on avait aussi compté sur l’inflation. Mais à quoi ressemblerait l’univers de la LPP aujourd’hui si d’autres choix avaient été faits au moment de son introduction?